Europe1:Le tribunal de Londres a accordé jeudi la liberté conditionnelle au fondateur de WikiLeaks.
La troisième comparution était la bonne. Julian Assange s’est vu accorder la liberté conditionnelle jeudi par la Haute Cour de Londres, en appel. Le fondateur de WikiLeaks pourra être libéré sous caution. Cette fois, la décision ne peut faire l'objet d'aucun recours.
Il va porter un bracelet électronique
L’Australien de 39 ans va ainsi pouvoir sortir de prison en portant un bracelet électronique, après avoir versé une caution de 240.000 livres, soit environ 283.000 euros. Il devra rester dans une propriété mise à sa disposition par l’un de ses partisans à environ 200 kilomètres de Londres.
Julian Assange avait déjà tenté deux fois auparavant d'obtenir sa libération : la première après sa reddition à la police le 7 décembre, la seconde mardi. Un juge de première instance avait alors décidé de le libérer sous caution, à hauteur de 200.000 livres sterling et d'un contrôle judiciaire strict.
C’est ainsi que pendant quelques heures, le fondateur du site WikiLeaks avait cru qu'il pourrait quitter rapidement la prison londonienne. Mais c'était ignorer la pugnacité du parquet britannique - représentant des autorités suédoises - qui a immédiatement fait appel.
La troisième comparution était la bonne. Julian Assange s’est vu accorder la liberté conditionnelle jeudi par la Haute Cour de Londres, en appel. Le fondateur de WikiLeaks pourra être libéré sous caution. Cette fois, la décision ne peut faire l'objet d'aucun recours.
Il va porter un bracelet électronique
L’Australien de 39 ans va ainsi pouvoir sortir de prison en portant un bracelet électronique, après avoir versé une caution de 240.000 livres, soit environ 283.000 euros. Il devra rester dans une propriété mise à sa disposition par l’un de ses partisans à environ 200 kilomètres de Londres.
Julian Assange avait déjà tenté deux fois auparavant d'obtenir sa libération : la première après sa reddition à la police le 7 décembre, la seconde mardi. Un juge de première instance avait alors décidé de le libérer sous caution, à hauteur de 200.000 livres sterling et d'un contrôle judiciaire strict.
C’est ainsi que pendant quelques heures, le fondateur du site WikiLeaks avait cru qu'il pourrait quitter rapidement la prison londonienne. Mais c'était ignorer la pugnacité du parquet britannique - représentant des autorités suédoises - qui a immédiatement fait appel.
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