Epuisé par la campagne et visiblement incapable de se mêler à cet immense bain de foule qui l’attendait, Paul Biya n’a pas pu s’empêcher de hurler pour qu’on lui apporte la voiture. Ceux de ma génération qui ont vu cette image, n’ont pu s’empêcher de sombrer dans le souvenir de Paul Biya le quadragénaire, quand il marchait d’un pas vif et pressé et prenait plaisir à serrer les mains et enchanter la foule.
Malheureusement, l’âge est de passage et le corps n’est pas le fer : Chaque chose à son temps.
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